Monsieur le Président,
je vous fais une lettre, que vous ne lirez pas …. même si vous avez le temps !
Je viens de recevoir ma pension de retraite et d’écouter les belles paroles de Monsieur Barbier (plumitif chien de garde). « Retraités, vieux enfants gâtés, qui n’avez pas connu de guerre, qui avez eu du boulot. Vous avez été soignés gratos, vous avez connu le rock, 68 et l’amour sans risque. Bref vous avez profité de tout, égoïstes que vous êtes ! Et en plus vous voudriez finir votre vie sans bosser, en bénéficiant d’une « juteuse » retraite ! Pendant que les jeunes galèrent eux qui n’ont pas eu votre chance ! Pas de ça ! Allez, à la caisse, par ici la monnaie ! Pensez aux autres ! » Voilà ce que décrète ce monsieur avec une tranquille assurance.
cf. document joint